tenue + Journée, ou plutôt soirée de « travail » terminé, il était temps d'aller rendre ce qui est à César, à César. Pour faire plus simple, partager ses gains de la soirée avec son mac. Et donc, Cassidy s'était rendu au bar de Dante, là où il travaillait aussi comme danseur, les soirs où il n'avait pas vraiment de client, ou justement pour s'en trouver de nouveau. Cass n'aimait pas tellement cet endroit, mais il le connaissait et il devait s'y rendre souvent, malheureusement. En revanche, il aimait énormément le propriétaire de cet endroit. Dante représentait beaucoup à ses yeux et il avait une relation plus qu'amicale avec lui, surtout quand on sait comment ils s'étaient connus tous les deux. Enfin, une fois arrivé, il demanda à un de ses collègues où son patron se trouvait et il allait donc le rejoindre dans les loges. Il était là, assis, comme s'il l'attendait. « Bonsoir.. ». Cassidy avait parfois du mal à être complètement à l'aise, il ne savait pas toujours quelle attitude prendre, mais bien vite il repéra quelque chose de dérangeant. Enfin, pour lui, pour les autres ça n'avait rien de spécial, mais la bague qu'il avait à l'annulaire gauche, il la détestait à un point fou. Cela lui rappelait que cet homme ne lui appartenait pas à lui mais... à elle. Irina. Cassidy l'avait déjà vu et il détestait les voir ensemble. Il ravala sa salive, fixant toujours la bague, plutôt que Dante. « C'est une très jolie bague... Monsieur Lee.  ». Il ne l'appelait comme ça que quand ils étaient au travail, devant les gens, mais là, il n'y avait personne à part eux, pourtant rien que par cette bague, il sentait une distance trop grande entre eux deux. Il leva timidement les yeux vers son « patron » avant baisser les yeux, à nouveau, sachant plus que bien, qu'il n'avait rien à dire sur cette alliance.

tenue + quittant rapidement mon domicile pour fuir celle qui deviendra ma femme sous, peu je me précipite malgré le froid, au bar. je n'avais rien de bien particulier à y faire, cependant, c'était le seul lieu où elle n'était pas capable d'y mettre les pieds, du moins pour l'instant. saluant rapidement le personnel, je m'isole bien rapidement dans les loges, cherchant le calme absolu. la musique raisonnant dans une ambiance sourde au travers des murs quelque peu isolés, je parviens à trouver un coin de la dite loge, plus discret. plus obscur également. les bras croisés contre mon torse, je fixe un point non précis dans le vide, me perdant bien rapidement dans mes pensées alors que la porte laisse entrée le brouhaha du bar. je relève bien rapidement la tête lorsque la voix du coupable se fait entendre dans la pièce. c'est donc sans grande surprise que je me retrouve face à mon amant. « bonsoir.  ». je n'étais pas froid, ni même gêné par la situation, cependant, ses derniers me font ressentir une certaine tensions, voir même jalousie. je baisse alors mon regard sur l'objet coupable de cette ambiance forte dérangeante avant de le retirer pour le glisser dans une des poches de mon jean. « tu n'es obligé de dire "monsieur". t'es pas un esclave à ce que je sache.  » tout en soupirant assez bruyamment, je me redresse avec une certaine lenteur, m'approchant du plus jeune dans une démarche quelque peu féline avant de m'arrêter à quelques centimètres. « y a personne ici. sauf toi et moi.  » glissant le bout de mes doigts sur son torse, je détourne bien rapidement sa personne pour m'avancer jusqu'à la porte. je finis par la verrouiller avant de m'appuyer contre cette dernière, toujours en fixant le brun avec attention. « tu devrais éviter les grandes formalités, ça ne te va pas du tout.  »

tenue + Il était tard, peut-être minuit ? Et Cassidy avait juste eu le temps de prendre une douche avant de venir déposer l'argent, qu'il posa par ailleurs sur un des bureaux. Il regardait alors Dante allait vers la porte pour la verrouillé. Cassidy se sentait mal en quelque sorte. Dante avait une femme, mais il était son amant. De nombreuses fois, Cassidy avait essayé d'oublier tout ça, mais il ne pouvait pas. Il n'était que l'amant et il était jaloux d'Irina. Elle était jolie et c'était surtout bientôt la femme de Dante. Ça le crevait de l'intérieur, mais il ne pouvait rien dire. Lui, la simple prostituée. Il leva les yeux au ciel avant de regarder à nouveau son patron. « La courtoisie n'est pas pour les putes, j'oubliais. ». Il avait beau essayer, gérer sa jalousie et sa colère, n'était pas chose facile. Il s'en voulait, il en voulait aussi à Dante, bien que forcé de comprendre sa situation. Mais il lui en voulait autant qu'il l'aimait. Il baissa à nouveau les yeux, se rendant bien compte qu'il n'avait pas vraiment grand chose à dire. De quel droit il lui en voulait, de toute façon ? C'était lui l'intrus, au final. Il souriait alors à Dante, un sourire triste, mais pourtant dessiné sur son visage. « Je connais ma place, Dante. C'est tout. ». Chose. Une simple chose, c'est ce qu'il pensait être. « Tu devrais y aller... elle t'attend sûrement, il se fait tard. ». Il lui disait de partir, mais ses yeux l'imploraient de rester avec lui. Trop jaloux, trop possessif, trop, trop... trop. Il avait envie de pleurer, mais il se retenait, se laissant bouffer par sa colère. Il la détestait de tout son être, pourtant au final, cette femme ne lui avait rien fait. Le fautif, c'était lui-même. Le manque de confiance de Cassidy, tout autant que sa jalousie, ferait fuir Dante à un moment ou à un autre.

tenue + aucun remords ne faisaient parti de mon corps, de mon esprit ou que sais-je d'autre. cassidy était devenu ma nouvelle obsession et cela en très peu de temps. qui aurait cru qu'une série de coucherie avec ce jeune garçon aurait pu me rendre si accro à sa personne ? qui aurait cru que tout ça me pousserait dans un plan presque macabre ? mes pensées n'étaient que pour lui et seulement lui. bien qu'irina a une énorme importance à mes yeux, elle ne sera jamais supérieure à celle que cassidy peut avoir. il n'était qu'un amant et pourtant, en dépit du reste, je voulais le considéré comme plus que ça. c'est donc en toute sérénité que je viens à m'approcher de lui, malgré ses propos quelques peu blessant. une fois à sa hauteur, tout en le fixant longuement, je glisse naturellement mes bras autour de sa taille avant de déposer mes lèvres sur les siennes. « ta place, elle est là. dans mes bras.  » mots mielleux. ça aurait presque rendu jalouses toutes les filles présentes dans ce bar si cela aurait était rendu public. au fond, même si il n'en avait pas réellement conscience, il était plutôt chanceux. c'était surement la seule personne à avoir prit mon coeur avec une grande facilité. cependant, une partie de moi était clairement jalouse, mais je ne pouvais me permettre d'en faire réellement part, après tout, ça serait le comble n'est-ce pas ? l'homme qui use de sa jalousie face à son amant, alors qu'il dort chaque soir aux cotés d'une femme qu'il n'aime pas réellement. « alors. combien ? combien de personne ont touchées, salis ce corps avant moi aujourd'hui ? hm ?  » des mots plutôt déplacé, sur une pointe de jalousie malgré tout. je ne voulais pas le partager et pourtant je n'avais pas le choix. « peu importe. je sais qu'un jour tout ça ne sera qu'à moi de toute façon.  » souriant faiblement, je dépose un faible baiser sur sa joue avant de m'écarter, me dirigeant bêtement jusqu'à cette enveloppe surement pleine de billet. au fond, cet argent ne faisait que me dégouter plus qu'autre chose, m que le notre.

tenue + Coupable. Cassidy était coupable de bien des choses. Il rendait le mari d'une femme infidèle, mais le pire c'est qu'il aimait ça. Mais ce n'était toujours pas suffisant. Il attendait bien plus que ce que Dante pouvait lui offrir. C'était, peut-être, rien, voire même stupide, mais Cassidy aimerait pouvoir affirmer qu'il a quelqu'un, qu'il est avec Dante. Mais c'était assez délicat, surtout vis-à-vis de la famille du plus vieux. « Si ma place est dans tes bras, ne me lâche pas... ». Il soupirait alors qu'il profitait de cette étreinte. Écoutant ses mots, Cassidy était un peu blessé, mais Dante avait raison, d'autres personnes avaient touché son corps. C'était là la triste vérité de sa vie. Il aurait, lui aussi, aimé que seul Dante soit celui qui soit capable de le toucher, mais ce n'était pas le cas. « Sauf que tu ne salis pas mon corps, Dante. Tu le soignes. ». Il lui fit un sourire. C'était niaiseux, mais il le pensait vraiment. C'était comme si rien que l'étreinte qu'il lui donnait, ses lèvres sur son front, arrivaient à apaiser tous ses maux. Parler de son nombre de clients ? À quoi bon. Cassidy ne comptait plus et de toute façon, il ne voulait même pas s'en souvenir. Les bleus et et parfois la douleur qui va avec, était déjà trop, alors pourquoi se souvenir de ces gens ? « Dante... Tu sais, c'est bientôt mon anniversaire... ». Il souriait bêtement, c'était un jour qu'il attendait vraiment, étrangement. Il regardait son « patron » aller vers l'enveloppe. Il secoua légèrement la tête pour enlever les mauvaises pensées qu'il pourrait avoir. Un humain, un humain, un humain. Il était humain, pas objet, il pouvait demander. « Tu... tu voudrais le passer avec moi... loin...d'ici...? ». Cassidy avait un petit rêve d'être loin de tous les gens qui les connaissaient, rien que pour pouvoir faire des trucs dit « de couple », comme aller dans un parc d'attraction... Des trucs niais, en gros, mais c'était tellement important pour le plus jeune.

tenue + see you again. ces mots raisonnaient sans cesse dans ma tête, non pas comme une affirmation, mais plutôt comme un mauvais signal. faisant allusion à plusieurs choses, notamment à l'amour que je peux porter au plus jeune, tout comme au fait que je ne finirais peut être pas avec lui et que je serais forcé de lui dire ses mêmes mots un jour. tout était à prévoir et pourtant, sa demande sonne comme un énième avertissement dans ma tête. est-ce que si je refuse, je pourrais avoir le privilège d'avoir d'autre moment avec lui ? non. bien sûr que non. mon mariage avançant bien trop vite, ça risque d'être mon ultime chance d'être avec lui. vraiment avec lui. « si tu me laisse tout organiser, j'accepte.  » évidemment, la fortune de papa allait payer tout ça sans que personne ne soit au courant, après tout, cette relation ne serait pas aussi destructrice si monsieur aurait un esprit plus ouvert. le fixant un court instant, je finis par lui offrir un véritable sourire enjoué, lui offrant tant bien que mal une lueur d'espoir. cela pouvait paraitre plutôt égoïste, mais au final, ni lui, ni moi, ni irina savait réellement comment cette histoire allait finir, donc autant en profiter maintenant. « on y arrivera, je te le promet.  » des mots sonnant faux. une promesse dont aucun de nous était sûr de la terminaison de cette dernière. le prenant lentement dans mes bras, mes lèvres se perdent sur sa tampe alors que ma main droite effectue quelques caresses au niveau de sa nuque.   « on pourrait aller au japon ? ou en nouvelle-zélande ? je ne sais pas..  » j'étais physiquement avec lui, c'était un fait. mais il est clair que mon esprit était loin, très loin, voir même trop loin. certaines choses, au fond me gênait réellement et il était inutile de dire que mon père ainsi qu'irina ne faisaient pas partis de ces choses là.

tenue + Était-ce la vérité, était-ce uniquement pour faire plaisir ? Cassidy ne savait pas, il croyait un peu ce qu'il voulait croire, c'était sa façon de ne pas se sentir blessé. Combien de fois il espérait qu'un jour Dante lui propose de s'enfuir loin. Mais ça, ça n'arrivait que dans les films, alors pour au moins un week-end, même une journée, il voulait que son rêve soit réalisé. Certaines personnes devraient comprendre que l'ouverture d'esprit n'est pas une mauvaise chose. Le père de Dante comme les parents de Cassidy, au fond. Si ses parents ne l'avaient pas renié à cause de son orientation sexuelle, il n'aurait sûrement pas fini comme ça et continuerait ses études. Mais c'était chose faite. Les promesses de Dante sonnaient comme des mensonges, mais Cassidy voulait y croire. Il souriait alors au plus vieux des deux, heureux. Il fut surpris quand Dante lui parlait de partir dans un autre pays, il pensait loin d'ici, mais partir au Japon ? Cassidy regardait Dante avec des grands yeux, comme s'il venait de lui offrir le plus beau cadeau du monde. Partir dans un autre pays, ça voulait dire rester plusieurs jours. Et c'est ce qu'il voulait. Il hochait la tête comme un enfant. « J'ai toujours voulu aller au Japon, tu sais ? ». Il passait ses bras autour de la nuque du plus vieux, le fixant toujours, l'admirant. Cassidy regardait toujours Dante, proche de lui, une de ses mains jouant avec les cheveux du plus vieux. « J'ai l'air de faire un caprice, n'est-ce pas ? ». Il approcha son visage un peu plus, pour déposer un léger baiser, presque timide, sur les lèvres de Dante, avant de lui sourire à nouveau. Il voulait lui dire qu'il l'aimait, qu'il voulait rester avec lui toute sa vie, mais il savait que cette histoire entre eux ne tiendrait qu'un temps, qu'il allait bientôt être marié et qu'il finirait seul, n'ayant pas grand-chose pour souvenir. Mais comme il savait qu'il n'avait pas forcément beaucoup de temps à passer encore ensemble, il ne dirait rien, juste pour que ces instants restent beaux.

tenue + malgré que cette situation soit plus que complexe, je n'en perds pas le nord. je sais qu'irina m'attend actuellement, tout comme je sais que j'aurais droit à un nouveau questionnaire, comme chaque soir et pourtant. je préfère mille fois subir son questionnaire, plutôt que écourter mes moments avec cassidy. je ne sais pas comment cela se terminera, surement mal, très mal et pourtant, je n'ai pas peur. je n'ai plus peur. depuis la mort de ma mère, j'ai toujours cherché à savoir ce qu'était l'amour. ce n'est qu'en rencontrant le jeune brun que j'ai compris ce qu'était ce sentiment fort et destructeur, bien que agréable sous plusieurs points. irina est importante pour moi, j'ai grandis avec cette dernière, mais cela fait bien des années qu'elle est à mes yeux comme une soeur, plutôt qu'une femme. « tes caprices, qu'ils en soient un ou pas, me plaisent.  » caprice ou pas, cela me prouvait sa façon de m'aimer en retour d'une certaine façon. ça me rassurait bien que parfois, j'avais peur. peur de le voir s'éloigner pour retrouver les bras d'un autre, ce qui aurait pour effet de me détruire, évidemment. fronçant légèrement les sourcils, je repousse doucement mon cadet et m'éloigne, cherchant de quoi boire. je sors rapidement de la pièce et rejoins la salle principale pour prendre un sceau et quelques bières, plongeant ces derniers au milieu des glaçons avant de retourner avec mon cadet. « sers-toi.. » il n'était certes pas majeur, mais avec moi à ses cotés, il n'avait pas grand chose à craindre. je me saisir d'une bouteille en verre à peine fraiche et use de mes dents pour retirer la capsule. en quelques secondes, le liquide finit par m’électriser grâce ou plutôt à cause de l'alcool. il y avait bien longtemps que je n'avais pas touché une goute de ce breuvage, l'habitude m'avait perdue. je relève doucement la tête vers mon vis à vis et le fixe longuement. « on fait quoi si on se fait prendre ? » la question à un million. la réponse elle en valait surement le double. encore faut-il qu'il y en ai une qui tienne la route..

tenue + Alors que Cassidy regardait Dante sortir de la pièce, il se mit à soupirer et son sourire disparu. Tout lui semblait mensonge. Tout était faux, mais malgré tout il voulait y croire plus que tout. Il voulait croire en son amour pour Dante, même s'il n'était pas sûr du contraire, il savait ce qu'il ressentait. Qu'est-ce qu'il y pouvait, de toute façon, c'était déjà complètement foutu pour lui, vu à quel point il pouvait tenir à Dante. Ils ne pouvaient plus revenir en arrière, l'un comme l'autre. Cass reprit son sourire aussitôt qu'il vit la porte s'ouvrir à nouveau. Il ne voulait pas vraiment montrer sa tristesse au plus vieux. Il voulait passer le si peu de moments qu'ils avaient ensemble, dans les meilleures conditions. « Merci. ». Il attrapa une bouteille et commença à boire une fois qu'elle fut ouverte. Il ne pouvait s'empêcher de sourire quand il voyait Dante, c'était comme un automatisme. Tout le monde pouvait voir qu'il l'aimait, de toute façon, il ne cherchait pas à se cacher, lui, n'avait pas de fiancé. Mais son sourire disparu à nouveau. La question de Dante le fit revenir à la réalité. C'était dur. Cassidy baissait la tête aussitôt, sentant les larmes monter. Il a une femme... Cet homme à une femme. Il posa la bouteille de bière, à peine entamé, sur l'un des bureaux à proximité. Cassidy avait oublié la réalité quelques instants. Il n'aurait jamais dû lui demander ça. Il n'ouvrit pas la bouche une seule seconde, regardant le sol. Qu'est-ce qu'ils feraient en se faisant attraper. Il déglutit. « N'y allons pas... tout simplement. ». Il releva la tête vers Dante, lui souriant à nouveau, mais tout en souriant, des larmes coulaient de ses yeux à demi-clos. Après tout Cassidy l'aimait au point de se faire passer après lui. Il baissa à nouveau la tête, passant sa propre main sous ses yeux pour en enlever les larmes. « Désolé... Je devrais rentrer et dormir. ». Il se leva, attrapant son sac, offrant un sourire à Dante avant de se tourner en direction de la sortie.

tenue + il ne comprenait pas où je voulais en venir. d'une certaine façon, c'était plutôt rassurant qu'il se souciait peu de ce qu'on allait devenir si l'on venait à se faire prendre, malheureusement, une partie de moi souffrait à l'idée qu'il vienne à comprendre le sens de ma question. prendrait-il peur ? fuirait-il ? dieu seul sait. un soupir m'échappe. je me sentais étouffer, bloquer au milieu de toute cette situation si absurde. si mon père acceptait mon homosexualité. si il ne m'avait jamais promis à irina. tout ça n'aurait pas lieu d'être. pas de souffrances, ni cachoteries. au final, à cause son esprit si étroit, je me retrouve à tromper une superbe femme et à faire souffrir indirectement celui que j'aime réellement. « je ne te parle pas du voyage. mais de notre relation. de mon infidélité et tout ce qui va avec. » tête baissé, je venais à me perdre une nouvelle fois dans mes pensées alors que la voix du plus jeune vient à me sortir de mon esprit si corrompu. je relève alors la tête vers lui et l'observe avant de remarquer qu'il est sur le point de départ. fronçant légèrement les sourcils, je dépose la bouteille en verre à coté de moi et me dirige vers lui. « je ne t'ai pas autorisé à partir. ou plutôt à fuir ? reste ici, juste pour ce soir. je dirais à irina que j'ai trop de travail ici et que je ne rentrerai pas, mais toi, me laisse pas ici. pas comme ça. et surtout pas maintenant. »